suite du précédent billet - vous qui passez s'il vous plait, allez sur
http://sauvonslolrap.canalblog.com/ et signez la pétition, que nous ayons une petite chance d'éviter cette disparition.
Egoïstement, qu'est-ce que je vais devenir sans eux ?
mardi 30 septembre 2008
mercredi 24 septembre 2008
je veux que l'OLRAP soit sauvé ! bon je sais mon désir ne suffit pas - mais Avignon ne peut se passer de cet orchestre !
Communiqué de presse des musiciens de L’Orchestre Lyrique de Région Avignon Provence (OLRAP) via http://www/lebda.fr
L’Orchestre Lyrique de Région Avignon Provence (OLRAP) vit aujourd’hui un épisode déterminant de son histoire.
Confronté à des problèmes financiers récurrents (conséquence directe d’un budget insuffisant) l’orchestre, risquant de se retrouver en situation de cessation de paiement, a été placé en Procédure de Sauvegarde par le Conseil d’Administration de l’OLRAP en avril 2008.
La « loi de sauvegarde des entreprise s » (2006) est un nouveau dispositif permettant demettre en place les mesures nécessaires au maintien de l’activité des entreprises en difficulté. En respectant le plan de restructuration présenté par l’administrateur judiciaire, l’entreprise peut être durablement voire définitivement sauvée, ou seulement maintenue en sursis avant liquidation ; le temps pour elle de rembourser ses créances.
Concernant l’OLRAP, l’administrateur judiciaire M. Mérilhou, chargé d’élaborer le plan de restructuration a rendu son rapport au juge commissaire ce matin lors de l’audience au TGI (tribunal de grande instance) d’Avignon. Ce plan comporte 2 phases :
Première phase : une augmentation du budget annuel de 850.000 € à la charge des 4 tutelles de l’OLRAP. (Pour rappel, l’orchestre est financé pour 1/3 par la Ville, 1/3 par l’Etat, 1/6 par la Région PACA, 1/6 par le Département de Vaucluse). Le tribunal lance une mise en demeure de 30 jours pour que les tutelles s’engagent à respecter l’augmentation proposée par M. Mérilhou , puis se réunira le 28 octobre pour entériner ces augmentations.
Deuxième phase : application du plan de restructuration.
Si la première phase n’est pas respectée, le TGI prononcera la liquidation judiciaire de l’OLRAP !
Contact : Frédéric Béthune, représentant des salariés de l’OLRAP dans la procédure
Communiqué de presse des musiciens de L’Orchestre Lyrique de Région Avignon Provence (OLRAP) via http://www/lebda.fr
L’Orchestre Lyrique de Région Avignon Provence (OLRAP) vit aujourd’hui un épisode déterminant de son histoire.
Confronté à des problèmes financiers récurrents (conséquence directe d’un budget insuffisant) l’orchestre, risquant de se retrouver en situation de cessation de paiement, a été placé en Procédure de Sauvegarde par le Conseil d’Administration de l’OLRAP en avril 2008.
La « loi de sauvegarde des entreprise s » (2006) est un nouveau dispositif permettant demettre en place les mesures nécessaires au maintien de l’activité des entreprises en difficulté. En respectant le plan de restructuration présenté par l’administrateur judiciaire, l’entreprise peut être durablement voire définitivement sauvée, ou seulement maintenue en sursis avant liquidation ; le temps pour elle de rembourser ses créances.
Concernant l’OLRAP, l’administrateur judiciaire M. Mérilhou, chargé d’élaborer le plan de restructuration a rendu son rapport au juge commissaire ce matin lors de l’audience au TGI (tribunal de grande instance) d’Avignon. Ce plan comporte 2 phases :
Première phase : une augmentation du budget annuel de 850.000 € à la charge des 4 tutelles de l’OLRAP. (Pour rappel, l’orchestre est financé pour 1/3 par la Ville, 1/3 par l’Etat, 1/6 par la Région PACA, 1/6 par le Département de Vaucluse). Le tribunal lance une mise en demeure de 30 jours pour que les tutelles s’engagent à respecter l’augmentation proposée par M. Mérilhou , puis se réunira le 28 octobre pour entériner ces augmentations.
Deuxième phase : application du plan de restructuration.
Si la première phase n’est pas respectée, le TGI prononcera la liquidation judiciaire de l’OLRAP !
Contact : Frédéric Béthune, représentant des salariés de l’OLRAP dans la procédure
mercredi 17 septembre 2008
Exclu BDA : André Castelli répond à toutes nos questions...
copié sur le site du blog des avignonnais, (un regret : la nouvelle présentation ne permet pas de citer simplement l'URL d'un article) http://www.lebda.fr/index.php?option=com_content&view=frontpage
Écrit par Jamil
Mercredi, 17 Septembre 2008 00:00
Tout est très facile avec André Castelli. Un simple coup de fil, un rendez-vous dans la foulée et nous voilà assis dans son bureau pour un « entretien vérité » qui durera plus de 45mn.
Aucune question ne sera esquivée par celui qui porte une double casquette de conseiller général et municipal.
Simple, disponible, souriant et appliqué, André Castelli parvient à redonner du crédit à la politique et dans cette période de morosité où les débats de fond sont inexistants, c’est déjà une belle performance.
Jamil Zéribi : André Castelli, je vous propose que nous abordions les points suivants dans l’ordre chronologique : retour sur les municipales, votre conception de l’opposition municipale et les différentes querelles à gauche et pour finir, votre actualité au Conseil Général.
André Castelli : Aucun souci.
JZ : Avec du recul, comment avez-vous trouvé votre performance aux dernières élections municipales ?
AC : La liste que j’ai conduit a marqué les esprits et le score de 14,25% est significatif de cette volonté qu’ont les Avignonnais de construire un autre projet politique à gauche. Nous avons porté des idées, un projet, une appréhension des dossiers et une façon nouvelle de faire de la politique. Il reste maintenant à prolonger cette dynamique collective au quotidien avec les Avignonnais. Pour cela, notre groupe municipal proposera des rendez-vous pour réfléchir, agir et associera bien sûr les ex-colistiers à cette démarche.
JZ : Comment concevez-vous le rôle de l’opposition municipale ?
AC : L’opposition doit bien sûr contester la politique de la majorité quand c’est nécessaire mais doit aussi porter un regard de fond sur les dossiers et faire des propositions concrètes qui garantissent l’intérêt de la population.
JZ : Revenons un instant sur les querelles et les tensions entre votre groupe et celui de Michèle Fournier Armand. Avez-vous subi une répression politique suite au dernier conseil municipal ?
AC : Il faut que les chosent soient claires : André Castelli n’a subi aucune répression politique au Conseil Général et travaille quotidiennement avec son président pour mettre en œuvre les projets de la mandature. Pour ce qui est du dernier conseil municipal, les propos tenus n’engagent que celui qui les a formulé. Je persiste à dire que nous devons redéfinir un concept d’alliance pour la gauche à Avignon et je suis ouvert au dialogue. Enfin, j’aimerais que l’on évite de faire tant de bruit devant ce genre d’évènement.
JZ : Votre portefeuille au Conseil Général a bien été scindé à la suite des élections municipales ?
AC : Oui mais c’est à ma demande car j’étais le seul Conseiller Général de France à posséder autant de délégations. Pour un portefeuille équivalent dans d’autres départements, il y a deux, trois, voire quatre élus qui se partagent les tâches. J’ajoute que j’avais un budget collossal à gérer, plus important que celui de la mairie d’Avignon.
JZ : La presse a évoqué une rencontre prévue entre vous et Michèle Fournier Armand.
AC : Aucune rencontre n’est prévue pour l’instant.
JZ : Comment jugez-vous la politique municipale ?
AC : La majorité fait beaucoup de vent et gesticule mais les Avignonnais ne voient pas d’évolutions dans leur quotidien. La ville est toujours aussi pauvre après deux mandats de Marie-Josée Roig. Pour preuve, 75% des demandes de logement sont éligibles au logement social et 40% des foyers souscrivent à l’impôt sur le revenu alors que la moyenne nationale est à 50%.
JZ : Sur le plan économique.
AC : Là aussi, les inaugurations de bâtiments se multiplient mais il n’y a pas de politique économique qui associe tous les acteurs de notre territoire. J’ai deux exemples : la ZFU et la Courtine. Pour réussir le défi de la ZFU, il faut mettre tous le monde autour de la table : syndicats de salariés, d’entrepreneurs, la CCI, l’ANPE, la mission locale, les associations et les autres collectivités afin de construire des réponses qui collent aux réalités de terrain. Il ne suffit pas d’inaugurer des bureaux devant la presse pour prétendre porter une politique de développement économique.
JZ : Et la Courtine.
AC : La Courtine est un échec fragrant. Alors que d’autres villes nous envient d’avoir le TGV à 2h40 de Paris et que ces infrastructures sont idéales pour notre attractivité économique, aucun projet sérieux n’a été porté depuis la création de cette gare. Si, il y aura bientôt en courtine le plus grand parking d’Europe tellement il y a de voitures garées. C’est triste.
JZ : Le PPRI (plan, prévention, risques, d’inondations) avait gelé toute construction en Courtine non ?
AC : Les contraintes du PPRI ont été levées en 2005. Depuis, rien. J’ajoute que cette période d’attente aurait dû permettre à la ville de préparer un projet solide pour une mise en œuvre dès 2005.
JZ : Pour revenir à la politique de la ville, quelle est la déclinaison locale du Plan Banlieue ?
AC : Inexistante. Le CUCS (contrat, urbain de cohésion sociale) prendra fin en 2009 et nous n’avons aucune information sur la suite de ce dispositif.
JZ : Il se dit que le budget municipal 2009 sera très serré.
AC : Je n’en doute pas, nous avions fait la démonstration avec Cécile Helle au conseil municipal des difficultés budgétaires à venir. 2009 et 2010 seront des années difficiles et les Avignonnais vont découvrir concrètement la mauvaise gestion de l’équipe de Marie-Josée Roig. Pour parvenir à l’équilibre, les impôts risquent d’augmenter où les aides aux associations, par exemple, diminuer. Nous serons très vigilants.
copié sur le site du blog des avignonnais, (un regret : la nouvelle présentation ne permet pas de citer simplement l'URL d'un article) http://www.lebda.fr/index.php?option=com_content&view=frontpage
Écrit par Jamil
Mercredi, 17 Septembre 2008 00:00
Tout est très facile avec André Castelli. Un simple coup de fil, un rendez-vous dans la foulée et nous voilà assis dans son bureau pour un « entretien vérité » qui durera plus de 45mn.
Aucune question ne sera esquivée par celui qui porte une double casquette de conseiller général et municipal.
Simple, disponible, souriant et appliqué, André Castelli parvient à redonner du crédit à la politique et dans cette période de morosité où les débats de fond sont inexistants, c’est déjà une belle performance.
Jamil Zéribi : André Castelli, je vous propose que nous abordions les points suivants dans l’ordre chronologique : retour sur les municipales, votre conception de l’opposition municipale et les différentes querelles à gauche et pour finir, votre actualité au Conseil Général.
André Castelli : Aucun souci.
JZ : Avec du recul, comment avez-vous trouvé votre performance aux dernières élections municipales ?
AC : La liste que j’ai conduit a marqué les esprits et le score de 14,25% est significatif de cette volonté qu’ont les Avignonnais de construire un autre projet politique à gauche. Nous avons porté des idées, un projet, une appréhension des dossiers et une façon nouvelle de faire de la politique. Il reste maintenant à prolonger cette dynamique collective au quotidien avec les Avignonnais. Pour cela, notre groupe municipal proposera des rendez-vous pour réfléchir, agir et associera bien sûr les ex-colistiers à cette démarche.
JZ : Comment concevez-vous le rôle de l’opposition municipale ?
AC : L’opposition doit bien sûr contester la politique de la majorité quand c’est nécessaire mais doit aussi porter un regard de fond sur les dossiers et faire des propositions concrètes qui garantissent l’intérêt de la population.
JZ : Revenons un instant sur les querelles et les tensions entre votre groupe et celui de Michèle Fournier Armand. Avez-vous subi une répression politique suite au dernier conseil municipal ?
AC : Il faut que les chosent soient claires : André Castelli n’a subi aucune répression politique au Conseil Général et travaille quotidiennement avec son président pour mettre en œuvre les projets de la mandature. Pour ce qui est du dernier conseil municipal, les propos tenus n’engagent que celui qui les a formulé. Je persiste à dire que nous devons redéfinir un concept d’alliance pour la gauche à Avignon et je suis ouvert au dialogue. Enfin, j’aimerais que l’on évite de faire tant de bruit devant ce genre d’évènement.
JZ : Votre portefeuille au Conseil Général a bien été scindé à la suite des élections municipales ?
AC : Oui mais c’est à ma demande car j’étais le seul Conseiller Général de France à posséder autant de délégations. Pour un portefeuille équivalent dans d’autres départements, il y a deux, trois, voire quatre élus qui se partagent les tâches. J’ajoute que j’avais un budget collossal à gérer, plus important que celui de la mairie d’Avignon.
JZ : La presse a évoqué une rencontre prévue entre vous et Michèle Fournier Armand.
AC : Aucune rencontre n’est prévue pour l’instant.
JZ : Comment jugez-vous la politique municipale ?
AC : La majorité fait beaucoup de vent et gesticule mais les Avignonnais ne voient pas d’évolutions dans leur quotidien. La ville est toujours aussi pauvre après deux mandats de Marie-Josée Roig. Pour preuve, 75% des demandes de logement sont éligibles au logement social et 40% des foyers souscrivent à l’impôt sur le revenu alors que la moyenne nationale est à 50%.
JZ : Sur le plan économique.
AC : Là aussi, les inaugurations de bâtiments se multiplient mais il n’y a pas de politique économique qui associe tous les acteurs de notre territoire. J’ai deux exemples : la ZFU et la Courtine. Pour réussir le défi de la ZFU, il faut mettre tous le monde autour de la table : syndicats de salariés, d’entrepreneurs, la CCI, l’ANPE, la mission locale, les associations et les autres collectivités afin de construire des réponses qui collent aux réalités de terrain. Il ne suffit pas d’inaugurer des bureaux devant la presse pour prétendre porter une politique de développement économique.
JZ : Et la Courtine.
AC : La Courtine est un échec fragrant. Alors que d’autres villes nous envient d’avoir le TGV à 2h40 de Paris et que ces infrastructures sont idéales pour notre attractivité économique, aucun projet sérieux n’a été porté depuis la création de cette gare. Si, il y aura bientôt en courtine le plus grand parking d’Europe tellement il y a de voitures garées. C’est triste.
JZ : Le PPRI (plan, prévention, risques, d’inondations) avait gelé toute construction en Courtine non ?
AC : Les contraintes du PPRI ont été levées en 2005. Depuis, rien. J’ajoute que cette période d’attente aurait dû permettre à la ville de préparer un projet solide pour une mise en œuvre dès 2005.
JZ : Pour revenir à la politique de la ville, quelle est la déclinaison locale du Plan Banlieue ?
AC : Inexistante. Le CUCS (contrat, urbain de cohésion sociale) prendra fin en 2009 et nous n’avons aucune information sur la suite de ce dispositif.
JZ : Il se dit que le budget municipal 2009 sera très serré.
AC : Je n’en doute pas, nous avions fait la démonstration avec Cécile Helle au conseil municipal des difficultés budgétaires à venir. 2009 et 2010 seront des années difficiles et les Avignonnais vont découvrir concrètement la mauvaise gestion de l’équipe de Marie-Josée Roig. Pour parvenir à l’équilibre, les impôts risquent d’augmenter où les aides aux associations, par exemple, diminuer. Nous serons très vigilants.
j'ai été contente de participer un peu à sa campagne, et je continue à apprécier son attitude
mardi 9 septembre 2008
Avignon : pas de Taser Vaucluse matin le 09/09/08 à 07h56
«Il n'y a pas de projet dans ce sens-là et de plus, nous n'avons reçu aucune directive officielle.
"Faire respecter les arrêtés du maire"
Aujourd'hui, il n'y a aucune volonté d'en équiper la police municipale à Avignon », a commenté hier Philippe Debondue, responsable du service communication de la Ville.Et de rappeler : « Ce service n'a pas les mêmes missions que la police nationale. Son rôle principal : faire respecter les arrêtés du maire ».
"Ces armes servent uniquement en cas de légitime défense"
Ils resteront donc équipés d'arme de défense de 4e catégorie, des pistolets 9 millimètres et de "tonfas" qui sont utilisés pour neutraliser les gens afin de les interpeller ou de les menotter sans problème.« Ces armes s'utilisent uniquement dans les cas de légitime défense » a-t-il conclu.
«Il n'y a pas de projet dans ce sens-là et de plus, nous n'avons reçu aucune directive officielle.
"Faire respecter les arrêtés du maire"
Aujourd'hui, il n'y a aucune volonté d'en équiper la police municipale à Avignon », a commenté hier Philippe Debondue, responsable du service communication de la Ville.Et de rappeler : « Ce service n'a pas les mêmes missions que la police nationale. Son rôle principal : faire respecter les arrêtés du maire ».
"Ces armes servent uniquement en cas de légitime défense"
Ils resteront donc équipés d'arme de défense de 4e catégorie, des pistolets 9 millimètres et de "tonfas" qui sont utilisés pour neutraliser les gens afin de les interpeller ou de les menotter sans problème.« Ces armes s'utilisent uniquement dans les cas de légitime défense » a-t-il conclu.
ouf ! pourvu que nos "édiles" restent raisonnables
dimanche 7 septembre 2008
toujours à propos de notre réunion informelle des ministres des affaires étrangères
et je leur vole une photo (mais préfère celles de Michel voir ci-dessous)
et pour les mondanités associées http://www.lebda.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=74:bernard-kouchner-recu-par-marie-josee-roig&catid=7:ump&Itemid=11
à part ça Ségolène Royal est venue prêcher
vendredi 5 septembre 2008
non à l'Europe forteresse
Carcasse n'a pas voulu - mais Michel Benoit y était http://avignon.midiblogs.com/
Carcasse n'a pas voulu - mais Michel Benoit y était http://avignon.midiblogs.com/
VENEZ VENDREDI 5 SEPTEMBRE 2008
A 18 HEURES A AVIGNON
Place de l'Horloge
(en haut de la rue dela République)
➔ dénoncer avec nous la surdité des dirigeants de cette «Europe forteresse» et les politiques qu’ils mettent en œuvre en particulier à l’occasion dela Présidence française
➔ exprimer vos aspirations à une autre Europe
Participera au rassemblement Giusto CATANIA, Député européen italien (Rifondazione Communista), membre dela Gauche Unie Européenne-Gauche Verte Nordique, Vice-Président de la commission des libertés civiles et porte parole de la campagne européenne contre la directive de la honte
L'appel à ce rassemblement est signé par les organisations suivantes : Alternatifs, ATTAC 84, UD-C.G.T.84, F.S.U.84, LCR-NPA, P.C.F., R.E.S.F.-UCIJ 84, Solidaires 84, Verts, Association des travailleurs maghrébins de France (Section d’Aix)
A 18 HEURES A AVIGNON
Place de l'Horloge
(en haut de la rue dela République)
➔ dénoncer avec nous la surdité des dirigeants de cette «Europe forteresse» et les politiques qu’ils mettent en œuvre en particulier à l’occasion dela Présidence française
➔ exprimer vos aspirations à une autre Europe
Participera au rassemblement Giusto CATANIA, Député européen italien (Rifondazione Communista), membre dela Gauche Unie Européenne-Gauche Verte Nordique, Vice-Président de la commission des libertés civiles et porte parole de la campagne européenne contre la directive de la honte
L'appel à ce rassemblement est signé par les organisations suivantes : Alternatifs, ATTAC 84, UD-C.G.T.84, F.S.U.84, LCR-NPA, P.C.F., R.E.S.F.-UCIJ 84, Solidaires 84, Verts, Association des travailleurs maghrébins de France (Section d’Aix)
précisions en provenance du Blog des avignonnais http://www.lebda.fr/index.php?option=com_content&view=frontpage&Itemid=1
Faisant suite à l’article d’hier sur le BDA et après renseignements auprès du Ministère des affaires étrangères, voici les informations que nous avons pu obtenir sur le déroulement et le contenu de ce sommet Européen : · La session de travail de ce vendredi après-midi sera consacrée à un débat sur l’avenir de la relation entre l’Union européenne et les Etats-Unis. · Bernard Kouchner tiendra ensuite à 18h une conférence de presse aux côtés du Haut Représentant pour la politique étrangère et de sécurité commune.
Inscription à :
Articles (Atom)