le service "com" du Ministère de la Culture, est bien fait, mais un peu lent
réponse à un courriel du 6 octobre, pour un "dossier" clos le 30 novembre - courtois mais...
Madame,
Vous avez souhaité faire part à Christine Albanel, ministre de la Culture et de la Communication, de vos préoccupations concernant la situation de l’orchestre lyrique d'Avignon Provence.
La ministre a pris connaissance de votre courriel avec attention et m'a chargé de le transmettre à Georges-François Hirsch, directeur de la musique, de la danse, du théâtre et des spectacles (53, rue Saint-Dominique - 75007 Paris ; tél. : 01 40 15 80 00). Il ne manquera pas de vous tenir informée de la suite qui pourra lui être réservée.
Je vous prie d’agréer, Madame, l’expression de mes hommages respectueux. Le Chef de Cabinet Olivier BREUILLY
à propos de l'OLRAP, bien entendu
vendredi 28 novembre 2008
dimanche 16 novembre 2008
Un « Davos » de la culture pour Avignon - et le sort de l'OLRAP toujours incertain
Le « Forum d’Avignon » se tiendra du 16 au 18 novembre dans le cadre de la Présidence française de l'Union Européenne« La culture, facteur de croissance ». Le « Forum d’Avignon » aura lieu du 16 au 18 novembre. Le thème de l’édition 2008 est « La culture, facteur de croissance ». Il réunira 250 acteurs majeurs issus des secteurs de l'économie, de la culture et des médias, mais aussi des représentants des pouvoirs publics de différentes pays. La première journée du « Forum d’Avignon » sera consacré à la « Culture et développement économique » : la culture, condition du développement économique durable ; et la création, levier de croissance.La seconde journée aura pour sujet : «Le numérique à l'aube de nouvelles valeurs ?». Le « Forum d’Avignon » a pour objectif, entre autres, de montrer en quoi l’investissement culturel contribue non seulement à la protection de la diversité et à la défense des valeurs de civilisation mais également à la création de richesses pour les habitants et à une meilleure compréhension des valeurs d’un pays pour les visiteurs et ses habitants.Dimension économique de la culture. Le « Forum d’Avignon » s'appuie sur un comité directeur composé de Jean-Jacques Annaud, Laurent Bezoni, Mats Carduner, Emmanuel Chain, Hervé Digne, Renaud Donnedieu de Vabres, Axel Ganz, Emmanuel Hoog, Alain Kouck, Véronique Morali, Pascal Rogard et Nicolas Seydoux, président de l’association « Forum d’Avignon ». Autour de ce comité directeur, seront présentes des personnalités de l'architecture et du patrimoine ; des arts plastiques ; du cinéma ; de l'économie ; des banques et de l'industrie ; de l'édition, de la presse et de la littérature ; de la gastronomie, des institutionnels et organisations internationales, de la télévision, radio et internet ; de la musique, danse et spectacle vivant ; ainsi que des ministres européens. Organisé dans le cadre de la Présidence française de l’Union européenne, le « Forum d’Avignon » vise à placer la culture comme moteur du projet européen
samedi 15 novembre 2008
mercredi 12 novembre 2008
Davos de la culture et de l’économie pour Avignon et CONTRE FORUM
Par UTOPIA Avignon le mardi, octobre 7 2008, 19:58 -
Mazette ! À la lecture de ce titre de La Provence, nous avons balancé entre amusement (notre mauvais esprit viscéral), intérêt et énervement (toujours notre mauvais esprit). Jugez par vous-même cette phrase croustillante de notre actuelle ministre de la culture : « La dimension économique de la culture est encore largement sous-estimée. Pourtant, elle est un véritable facteur de croissance, le levier par lequel nos productions… trouvent à l’internationnal un écho qui démultiplie les énergies. »
Après l’économie réelle donc, après la bérézina de l’économie virtuelle et ses bulles qui explosent, voici donc venir un nouveau miroir aux alouettes, l’économie culturelle ou comment rendre rentable ce qui ne devrait pas nécessairement l’être, que l’on peut produire à perte et avec bonheur, qui se partage parfois gratuitement et ne sert peut-être à rien… Comment ne pas voir là un antagonisme évident entre rentabilité et créativité ? Mauvais présage mais curieux quand même, on a été sur le site du co-initiateur de ce petit Davos, Renaud Donnedieu de Vabres. Ça commençait bien : « Culture, facteur de croissance, c’est la provocation vertueuse du Forum d’Avignon ». Là, nous l’avouons, nous avons ri aux larmes ! « Christine Albanel, Nicolas Seydoux, Jean-Jacques Annaud, Axel Ganz, Marie-Josée Roig, la maire d’Avignon et moi [RDDV] avons annoncé le Forum d’Avignon qui doit avoir lieu en Avignon les 16,17 et 18 novembre prochains.
Objectifs : changer les regards sur la culture, mobiliser les énergies, faire comprendre qu’il n’y a pas d’attractivité sans stratégie culturelle forte, décloisonner les esprits pour que les mondes politique, économique, culturel et artistique se rencontrent, se parlent, se découvrent davantage ! » Et la déclaration s’achève ainsi : « Le Palais des Papes sera fidèle à sa vocation universaliste en abritant cette magnifique cause, plus révolutionnaire qu’il n’y paraît ! »Mazette ! Nous vous avons raconté des bobards, l’heure n’était pas à la rigolade ! Que tout ce beau monde se penche sur ce qui après tout nous concerne au plus près, qu’il s’intéresse à ce que l’on défend depuis des décennies et pense soudainement qu’il y a des emplois en friche, du développement économique en perspective nous inquiète plus que ne nous rassure et apparemment nous ne sommes pas les seuls puisqu’un contre-forum est annoncé !
Par UTOPIA Avignon le mardi, octobre 7 2008, 19:58 -
Mazette ! À la lecture de ce titre de La Provence, nous avons balancé entre amusement (notre mauvais esprit viscéral), intérêt et énervement (toujours notre mauvais esprit). Jugez par vous-même cette phrase croustillante de notre actuelle ministre de la culture : « La dimension économique de la culture est encore largement sous-estimée. Pourtant, elle est un véritable facteur de croissance, le levier par lequel nos productions… trouvent à l’internationnal un écho qui démultiplie les énergies. »
Après l’économie réelle donc, après la bérézina de l’économie virtuelle et ses bulles qui explosent, voici donc venir un nouveau miroir aux alouettes, l’économie culturelle ou comment rendre rentable ce qui ne devrait pas nécessairement l’être, que l’on peut produire à perte et avec bonheur, qui se partage parfois gratuitement et ne sert peut-être à rien… Comment ne pas voir là un antagonisme évident entre rentabilité et créativité ? Mauvais présage mais curieux quand même, on a été sur le site du co-initiateur de ce petit Davos, Renaud Donnedieu de Vabres. Ça commençait bien : « Culture, facteur de croissance, c’est la provocation vertueuse du Forum d’Avignon ». Là, nous l’avouons, nous avons ri aux larmes ! « Christine Albanel, Nicolas Seydoux, Jean-Jacques Annaud, Axel Ganz, Marie-Josée Roig, la maire d’Avignon et moi [RDDV] avons annoncé le Forum d’Avignon qui doit avoir lieu en Avignon les 16,17 et 18 novembre prochains.
Objectifs : changer les regards sur la culture, mobiliser les énergies, faire comprendre qu’il n’y a pas d’attractivité sans stratégie culturelle forte, décloisonner les esprits pour que les mondes politique, économique, culturel et artistique se rencontrent, se parlent, se découvrent davantage ! » Et la déclaration s’achève ainsi : « Le Palais des Papes sera fidèle à sa vocation universaliste en abritant cette magnifique cause, plus révolutionnaire qu’il n’y paraît ! »Mazette ! Nous vous avons raconté des bobards, l’heure n’était pas à la rigolade ! Que tout ce beau monde se penche sur ce qui après tout nous concerne au plus près, qu’il s’intéresse à ce que l’on défend depuis des décennies et pense soudainement qu’il y a des emplois en friche, du développement économique en perspective nous inquiète plus que ne nous rassure et apparemment nous ne sommes pas les seuls puisqu’un contre-forum est annoncé !
[…] La culture facteur d’émancipation des peuples, d’ouverture aux autres, instrument de partage et d’échange, la culture revendiquée comme une exception hors des intérêts financiers et des notions de rentabilité, la culture facteur de cohésion sociale, la culture, droit fondamental universel pour tous(tes), au même titre que l’éducation, la santé, etc. Rien de tout cela ne sera à l’ordre du jour dece « Davos » de la culture. À l’heure de la plus grave crise financière de ces cinquante dernières années, que politiques et artistes se retrouvent à huis clos à Avignon sous haute protection policière pour établir des stratégies pour que la culture génère encore plus de profit, est d’un cynisme effarant.[…] Nous appelons toutes et tous, artistes, spectateurs (trices), militants(tes), simples citoyens(nes) à participer au « contre-forum » organisé le 17 Novembre 2008 à partir de 19h30 à la salle Benoit XII, rue des Teinturiers à Avignon. Pour qu’une autre idée de la Culture, plus démocratique et généreuse, soit portée et débattue à Avignon. Pour que la Culture, comme service public et droit fondamentalpour tous(tes), soit encore et toujours un droit réaffirmé et défendu par tous(tes).
Intervenants :Dominique Noël, secrétaire national Sud Culture sur le thème La Culture et l’argentRaoul-Marc Jennar, Chercheur en économie sur le thème AGCS-OMC, Europe et CulturePhilippe Corcuff, sociologue sur le thème Enjeux altermondialistes dans un monde dominé par la marchandise.
Un rassemblement est également prévu. Le lieu, le jour et l’heure sera annoncé parvoie d’affiches. Sud-Culture 84 et national, Solidaires 84, AIP-PACA, N.P.A.
Intervenants :Dominique Noël, secrétaire national Sud Culture sur le thème La Culture et l’argentRaoul-Marc Jennar, Chercheur en économie sur le thème AGCS-OMC, Europe et CulturePhilippe Corcuff, sociologue sur le thème Enjeux altermondialistes dans un monde dominé par la marchandise.
Un rassemblement est également prévu. Le lieu, le jour et l’heure sera annoncé parvoie d’affiches. Sud-Culture 84 et national, Solidaires 84, AIP-PACA, N.P.A.
mercredi 5 novembre 2008
ce soir à la Fédération du Parti Socialiste - 64 rue Thiers à Avignon - à 19 heures 30, réunion des signataires de la motion C (et des hésitants pourquoi pas)
Pourquoi voter pour la motion C ?
1. Parce qu’elle n’a pas attendu la crise financière pour parler de la faillite du modèle néo libéral ! Avant même la phase des contributions, nous avons mis en avant la responsabilité du système capitaliste dans les 4 crises majeures que traverse le monde (alimentaire, énergétique, environnementale, financière) et proposé des réponses fortes.
2. Parce qu’elle est précise sur les propositions ! Aux discours vagues et aux orientations floues, nous préférons des propositions précises, susceptibles de mobiliser le peuple de gauche : sur les salaires, sur les retraites, sur l’école, sur les services publics, sur la réforme des institutions, sur la démocratie dans les médias, nous proposons aux militants des réformes ambitieuses et réalistes.
3. Parce qu’elle est claire sur les orientations ! Contrairement à d’autres, nous n’avons jamais caressé le rêve de concilier socialisme et libéralisme. Nous plaidons au contraire pour une gauche décomplexée, fière de ses valeurs, offensive face à la droite.
4. Parce qu’elle est la seule à proposer une position sans ambigüité sur les alliances ! Le congrès sera utile s’il affirme sans ambiguïté que le PS revendique une stratégie claire de refus d’alliance avec le centre. Nous proposons d’engager une démarche politique pour favoriser l’unité de la Gauche.
5. Parce qu’elle est une motion de rassemblement. Là où d’autres se divisent pour cause d’ambitions concurrentes, nous avons choisi de nous rassembler. Les militants de 7 contributions se retrouvent sur notre motion.
6. Parce qu’elle fait le pari du renouvellement. Chaque motion promet le renouveau et la rénovation. Nous avons choisi de passer des paroles aux actes : le 1er signataire de la motion C est Benoît HAMON, député européen de 41 ans.
Pourquoi voter pour la motion C ?
1. Parce qu’elle n’a pas attendu la crise financière pour parler de la faillite du modèle néo libéral ! Avant même la phase des contributions, nous avons mis en avant la responsabilité du système capitaliste dans les 4 crises majeures que traverse le monde (alimentaire, énergétique, environnementale, financière) et proposé des réponses fortes.
2. Parce qu’elle est précise sur les propositions ! Aux discours vagues et aux orientations floues, nous préférons des propositions précises, susceptibles de mobiliser le peuple de gauche : sur les salaires, sur les retraites, sur l’école, sur les services publics, sur la réforme des institutions, sur la démocratie dans les médias, nous proposons aux militants des réformes ambitieuses et réalistes.
3. Parce qu’elle est claire sur les orientations ! Contrairement à d’autres, nous n’avons jamais caressé le rêve de concilier socialisme et libéralisme. Nous plaidons au contraire pour une gauche décomplexée, fière de ses valeurs, offensive face à la droite.
4. Parce qu’elle est la seule à proposer une position sans ambigüité sur les alliances ! Le congrès sera utile s’il affirme sans ambiguïté que le PS revendique une stratégie claire de refus d’alliance avec le centre. Nous proposons d’engager une démarche politique pour favoriser l’unité de la Gauche.
5. Parce qu’elle est une motion de rassemblement. Là où d’autres se divisent pour cause d’ambitions concurrentes, nous avons choisi de nous rassembler. Les militants de 7 contributions se retrouvent sur notre motion.
6. Parce qu’elle fait le pari du renouvellement. Chaque motion promet le renouveau et la rénovation. Nous avons choisi de passer des paroles aux actes : le 1er signataire de la motion C est Benoît HAMON, député européen de 41 ans.
lundi 3 novembre 2008
Le Rhône à la cote d'alerte
par La Rédaction du DL le 03/11/08 à 05h40
Les agents de la Compagnie nationale du Rhône (CNR) ont fait et refait les simulations de crue tout au long de l'après-midi d'hier. Les scénarios annoncés pour la nuit se voulaient rassurants. Le Rhône, qui avait atteint la cote de 5 mètres vers 17 h 30, était redescendu à 4,80 m en début de soirée. La vigilance crue "orange" était pourtant maintenue jusqu'à ce matin.
Le dernier front pluvieux attendu vers minuit
Les prévisionnistes de Météo-France n'annonçaient pourtant pas d'épisode orageux important. Le dernier front pluvieux attendu vers minuit ne devait apporter guère plus de 4 mm d'eau sur la région. Les inquiétudes des hydrologues portaient essentiellement sur ce début de journée avec la propagation des crues survenues en amont du Rhône et sur ses affluents, notamment du côté de Saint-Étienne et de la Haute-Loire. Leur "effet retard" ne devait se faire sentir dans la basse vallée du Rhône qu'à partir de 7 ou 8 heures ce matin.
Un espoir toutefois. Le fait que le Rhône n'ait pas dépassé sa cote d'alerte, hier, et qu'il ait pu absorber les crues de ses affluents de l'ouest (Cèze, Gardon et Ardèche) et de l'est (Ouvèze et Aigues). Entre samedi et dimanche, les pompiers du Gard ont en effet, enregistré des cumuls de pluie allant jusqu'à 250 mm sur les Cévennes.
La cellule de crise, réunie hier en milieu de journée, avait décidé de faire évacuer le parking des allées de l'Oulle. Une centaine de voitures a été déplacée vers l'île Piot. En cas de débordement, ce matin, les autorités étaient même prêtes à dévier le trafic routier au bord des remparts.
Sur l'île de la Barthelasse, les habitants étaient informés depuis 16 heures de la montée du Rhône via le serveur téléphonique Antibia. Toute la journée d'hier, le fleuve a d'ailleurs été l'attraction des promeneurs. Certains sont même venus pique-niquer sur les pelouses du chemin de halage, avant qu'elles ne soient submergées sous des centimètres d'eau boueuse et chargée de branchages. En fin de journée, le parking du camping de Bagatelle était noyé.
À l'auberge des jeunes de Bagatelle, on attendait dans le calme. «Ici, on n'évacue qu'à partir de 5,50 m et on se noie à partir de 6 mètres», confiait la cogérante, Christine Debernardi, également membre de la "réserve communale" en cas d'inondation. Près de 120 pensionnaires allemands, musiciens et pratiquants d'aviron avaient réservé pour la nuit. Le camping avait décidé de ne plus accepter de nouveaux arrivants.
Concernant la situation des prochaines heures, c'était encore l'incertitude et la plus totale prudence restait de mise.
par La Rédaction du DL le 03/11/08 à 05h40
Les agents de la Compagnie nationale du Rhône (CNR) ont fait et refait les simulations de crue tout au long de l'après-midi d'hier. Les scénarios annoncés pour la nuit se voulaient rassurants. Le Rhône, qui avait atteint la cote de 5 mètres vers 17 h 30, était redescendu à 4,80 m en début de soirée. La vigilance crue "orange" était pourtant maintenue jusqu'à ce matin.
Le dernier front pluvieux attendu vers minuit
Les prévisionnistes de Météo-France n'annonçaient pourtant pas d'épisode orageux important. Le dernier front pluvieux attendu vers minuit ne devait apporter guère plus de 4 mm d'eau sur la région. Les inquiétudes des hydrologues portaient essentiellement sur ce début de journée avec la propagation des crues survenues en amont du Rhône et sur ses affluents, notamment du côté de Saint-Étienne et de la Haute-Loire. Leur "effet retard" ne devait se faire sentir dans la basse vallée du Rhône qu'à partir de 7 ou 8 heures ce matin.
Un espoir toutefois. Le fait que le Rhône n'ait pas dépassé sa cote d'alerte, hier, et qu'il ait pu absorber les crues de ses affluents de l'ouest (Cèze, Gardon et Ardèche) et de l'est (Ouvèze et Aigues). Entre samedi et dimanche, les pompiers du Gard ont en effet, enregistré des cumuls de pluie allant jusqu'à 250 mm sur les Cévennes.
La cellule de crise, réunie hier en milieu de journée, avait décidé de faire évacuer le parking des allées de l'Oulle. Une centaine de voitures a été déplacée vers l'île Piot. En cas de débordement, ce matin, les autorités étaient même prêtes à dévier le trafic routier au bord des remparts.
Sur l'île de la Barthelasse, les habitants étaient informés depuis 16 heures de la montée du Rhône via le serveur téléphonique Antibia. Toute la journée d'hier, le fleuve a d'ailleurs été l'attraction des promeneurs. Certains sont même venus pique-niquer sur les pelouses du chemin de halage, avant qu'elles ne soient submergées sous des centimètres d'eau boueuse et chargée de branchages. En fin de journée, le parking du camping de Bagatelle était noyé.
À l'auberge des jeunes de Bagatelle, on attendait dans le calme. «Ici, on n'évacue qu'à partir de 5,50 m et on se noie à partir de 6 mètres», confiait la cogérante, Christine Debernardi, également membre de la "réserve communale" en cas d'inondation. Près de 120 pensionnaires allemands, musiciens et pratiquants d'aviron avaient réservé pour la nuit. Le camping avait décidé de ne plus accepter de nouveaux arrivants.
Concernant la situation des prochaines heures, c'était encore l'incertitude et la plus totale prudence restait de mise.
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